Le BDSM est souvent décrit comme une pratique malsaine: elle est un peu le paroxysme de la sexualité, voire l’ultime tabou sexuel. Si certains jeux sexuels, comme les préliminaires oraux, sont considérés comme plutôt “hardcore”, le BDSM en est très loin.
Effectivement, c’est une pratique auparavant underground, qui est devenue plus populaire récemment, comme nous l’avons déjà dit au sein d’un précédent article. Mais le tout n’est pas de savoir si cette pratique est devenue plus populaire ou acceptée, il faut savoir ce que disent les chiffres.
Le BDSM est pratiqué par un pourcentage assez faible de la population, entre 1 et 2 % seulement chez les hétérosexuels et les homosexuels, bien que ce pourcentage varie légèrement à la hausse selon le témoignage des personnes homosexuelles, pour atteindre 3 % au maximum selon les pays.
Mais si le BDSM est aussi connu, et pourtant si peu pratiqué, c’est bien pour une raison, non ? Alors, qu’en est-il vraiment, la vision que nous avons du BDSM est-elle romancée? Ou au contraire, en avons-nous simplement peur, et c’est ce qui explique que si peu de personne le pratique? C’est ce que nous allons tenter de découvrir dans cet article.
Le BDSM est-il dangereux?
Nous allons commencer par briser un des plus grands mystères du BDSM. Certes, le fait que le BDSM soit une pratique légèrement entourée d’une certaine aura de dangerosité, c’est ce qui fait son charme d’une certaine façon.
Mais ce n’est pas dire ça qui nous mènera vers la vérité. Le bondage et le sado-masochisme sont, comme vous le savez, des pratiques sexuelles orientées vers le plaisir relatif à la douleur, la souffrance. Et le but ultime est une libération, ou au contraire une oppression qui peut mener à l’orgasme.
Mais le BDSM ce n’est pas que porté un uniforme sexy en cuir rouge, et pouvoir mettre quelques coups de cravaches ou de martinet sur les fesses rebondies de votre maîtresse… Évidemment, si c’est ce que vous recherchez, nos escort BDSM Paris sont les femmes parfaites pour vous.
Mais il existe malgré tout des jeux de BDSM réellement dangereux, dont:
- L’hypoxiphilie (la suffocation et l’asphyxie)
- Le marquage au fer rouge
- Les jeux de couteaux et de lames
- Les jeux de flammes
- Les jeux électriques
Et la liste est loin de s’arrêter là. La fessée et la flagellation avec des petits fouets, même s’ils sont les plus populaires, ne sont clairement pas les seuls jeux BDSM. Mais il faut toutefois dire que ces jeux, potentiellement dangereux, sont souvent encadrés.
Généralement, la simple utilisation du safeword, mot qui sert à désamorcer le jeu, car la personne ne se sent plus à l’aise, peut suffire à éviter les dangers comme des blessures par exemples.
Est-ce que le BDSM est comme dans les films?
En fait, ce que nous avons décrit précédemment du BDSM permet un peu de répondre à cette question… Parce que si 50 nuances de gris à su animer la flamme du BDSM dans le cœur de nombreuses personnes, cela reste des pratiques de surfaces.
C’est-à-dire que la fessée un peu forte, le ligotage, et la flagellation douce ne sont pas les seules pratiques BDSM des amateurs de ce milieu. Alors non, le BDSM ce n’est pas uniquement une petite salle bien propre avec du cuir et des accessoires en satin.
Ce sont aussi des jeux un peu dangereux, qui peuvent mêler les éléments (feu, électricité), ou l’utilisation d’outil métallique comme des couteaux ou des ciseaux. Et ça, vous n’êtes pas près de le voir dans des films tout public ou dans des séries Netflix.
Est-ce que le BDSM est une orientation sexuelle?
Alors, selon certaines personnes, et spécialement celles issues directement du monde du BDSM, c’est une orientation sexuelle au même titre que l’homosexualité. Hors, ce n’est pas vraiment le cas dans les faits.
En fait, le BDSM c’est plutôt un style de vie, qui est donc flexible, donc qui peut changer au cours du temps, et s’adapté en fonction de la personne avec qui vous êtes, de ses préférences, etc.
L’homosexualité et l’hétérosexualité sont des pratiques fixes, qui ne changent pas au cours du temps. Mais ce n’est pas aussi simple que ça, parce que pour certaines personnes, les rapports sexuels “conventionnels”, ceux qui n’impliquent aucun jeux liés au sadisme ou au masochisme, ne les satisfont pas.
Parmi ces mêmes personnes, certaines n’arrivent plus à avoir des rapports sexuels normaux une fois le cap des premiers rapports BDSM passés. Mais ce n’est que le cas pour une petite minorité de personnes.
En fait, si l’on veut parler concrètement, le BDSM est la seule activité sexuelle possible pour environ 10 % des pratiquants interrogés selon certaines enquêtes dans plusieurs pays. Évidemment, nous pouvons aussi parler de l’argument de la popularité, car si très peu de personne pratique le BDSM, alors cela ne peut pas vraiment être une pratique.
En effet, le BDSM est représenté dans les pays de l’Occident et dans les pays Américains, mais c’est un fantasme assez peu présent en Asie ou même en Afrique, en raison de la culture, des mœurs et de l’éducation sexuelle de ces pays.
Est-ce que le BDSM est vraiment grisant?
Et oui, pour finir cet article, nous allons parler du BDSM dans son essence même, à savoir sa capacité à exciter les personnes. Bien que ce soit très loin d’être une pratique commune, il est certain qu’elle s’est un peu démocratisée.
Ainsi, de plus en plus d’adeptes ont pu tester les jeux érotiques à bases de petits jeux de dominations et de soumissions. Ce qui a en général tendance… à absolument plaire. Le BDSM est en général très intéressant par bien des aspects.
D’abord, il nous renseigne en quelque sorte sur notre personnalité. Si vous êtes une personne qui a du mal à lâcher prise, et qui n’arrive que très peu à se laisser faire au lit, alors essayez peut-être le BDSM avec une de nos escortes.
Ces magnifiques femmes pourront peut-être vous procurer la meilleure expérience sexuelle de votre vie… Et vous pouvez toujours switcher le jeu, pour être à votre tour le dominateur du jeu.