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Qu’est-ce que le Chemsex?

Dans le milieu du sexe, il existe plusieurs pratiques qui ne sont pas vraiment communes. Certaines pratiques naissent du fétichisme, de l’ennui sexuel ressenti par la clientèle de ce milieu, ou même de leur frustration.

Un exemple très connu, ce sont les fans de la femdom, ou domination féminine. Selon la plupart des psychologues, les habitués masculins de cette pratique sont souvent des gens occupant des postes à responsabilités sur le marché du travail.

Ces gens sont fréquemment des cadres dans des grandes entreprises et sont donc soumis à une pression quasi quotidienne pour ce qui concerne leur travail. Même si ces carrières sont jalousées par nos jeunes générations, en réalité, ces postes dépassent le simple travail.

Et une fois rentré chez eux, ces personnes ont envie de se laisser aller, de n’avoir plus aucune responsabilité, voire d’être dominé par les autres, eux qui passent leur journée dans un rapport de force avec leurs subalternes.

Ainsi, ils recherchent dans le lit à se faire dominer, pour canaliser leur frustration profonde. Le chemsex, c’est la pratique du sexe lorsqu’on a consommé juste avant des substances psychoactives, autrement appelés des drogues.

Voyons ensemble ce que ces mots signifient, et ce qu’implique vraiment le chemsex pour le métier d’escort.

pratique du sexe lorsqu’on

La définition du chemsex

Donc, le chemsex, c’est lorsqu’un ou plusieurs partenaires consomment de la drogue, dans le but d’accroître le plaisir, pour provoquer l’euphorie lors du rapport sexuel. Mais cela peut aussi avoir pour but d’augmenter les performances sexuel de celui qui va ingérer ces drogues.

Il faut savoir que cette pratique est populaire, spécialement chez les homosexuels, depuis les années 2000. Elle va servir dans certains milieux dont les backroom, ou certains clubs privés.

Le chemsex est très souvent liés à de longues sessions de sexe, avec des pratiques hardcore comme les gangbang, le fistfucking ou le BDSM plutôt poussé. Cette pratique reste très dangereuse, comme nous allons le voir et nos outcall massage Paris ne les pratique pas.

La drogue au service du sexe

Les drogues utilisées dans le chemsex sont variées, on peut compter notamment : la cocaïne, l’ecstasy, le LSD, la kétamine, l’ecstasy et les cathinones.

Le GHB est aussi utilisé, mais malheureusement, ce n’est que rarement consenti par ceux qui prennent cette drogue, aussi appelée “la drogue du violeur”. Mais pourquoi ces drogues sont utilisées dans le cadre du sexe?

C’est bien connu, nous savons que l’alcool, autant que le cannabis par exemple, peut jouer un rôle dans l’appréciation ou la sensibilité pendant un rapport sexuel. Pour les drogues dures que nous venons de citer, la puissance est démultipliée.

Les cathonines et les amphétamines sont connues pour leurs dangers à court et à long terme, puisqu’elles entrainent de fortes dépendances graves, même avec une seule prise.

Elles sont produites avec des molécules de synthèses qui ont des caractéristiques très peu répandues, dont surtout l’augmentation drastique de la libération de dopamine, qui engendre donc une forte modification du ressenti lors du rapport sexuel.

Cette modification va ainsi avec son lot de conséquences néfastes, dont notamment la difficulté de se débarrasser de cette habitude, qui va complètement détraquer le système de récompense du cerveau.

En effet, plus, on prend ces drogues pendant le sexe, plus notre cerveau est habitué à ce que le sexe produise une grande quantité de dopamine, incroyablement plus grande que la quantité normale relâchée par l’être humain.

Pourquoi le chemsex plaît?

Depuis les débuts des applications de rencontres (Tinder, Grindr…) le chemsex est devenu très populaire. La fermeture des lieux destinés aux rencontres gays en France font que finalement, dans le quotidien, les rencontres gays se passent souvent en huit-clos.

applications de rencontres

Et ça mène forcément à des abus. L’usage de drogue pour accroître le plaisir sexuel est devenu beaucoup moins tabou dans les milieux concernés, puisque la crainte du VIH a baissé, grâce aux avancées de la médecine.

Ainsi, l’usage de seringue et de rapports sexuels non-protégés est devenu quasiment banal… et très tentant. Voyons maintenant pourquoi le chemsex est dangereux.

Les conséquences néfastes du chemsex

Le chemsex va donc engendrer plusieurs choses : des pratiques et des risques intrinsèques. Autrement dit, le chemsex va de pair avec des pratiques risquées, mais il entraine aussi une baisse de vigilance concernant les facteurs à risques lors de ces pratiques.

Pour l’expliquer simplement, le chemsex va de paire avec les pratiques suivantes :

  • La multiplication des partenaires et le sexe de groupe. Cette pratique est néfaste, puisque, vous vous en doutez, cela multiplie les risques de contamination par les IST.
  • Le fist-fucking. Cette pratique augmente drastiquement les risques de contamination par les IST puisqu’elle fragilise les parois du rectum, en plus de provoquer parfois des fissures anales.
  • Le bareback, aussi appelé sexe sans protection. Forcément, les rapports sexuels sans protection sont un des facteurs principaux qui augmentent les risques de contamination d’IST et de VIH.

Finalement, le chemsex est souvent liés à des pratiques qui sont dangereuses, pas forcément en tant que telles, mais elles sont dangereuses si elles ne sont pas correctement effectuées.

Les risques liés à la drogue dans le chemsex

Ce n’est un mythe pour personne, les drogues sont dangereuses. En plus de pourrir le système de dopamine de ses utilisateurs, et de mener à des situations de dépressions graves, elles engendrent la dépendance.

Mais ce n’est pas le risque majeur des drogues, surtout dans le cadre du chemsex.

Le chemsex, c’est avant tout des risques de surdosages, donc d’overdose ou OD. Ensuite, c’est aussi le risque de bad trip, qui peut mener à des suicides, mutilations, mais aussi à des effets secondaires persistants comme la tachycardie, la paranoïa, la déprime, etc.

Les contaminations aux VIH et aux Hépatites sont aussi très élevés, puisque la mauvaise utilisation des seringues pendant le chemsex sont des facteurs aggravants.

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